LE PROJET
OCELLUS
CONTACT
CAROLE RIOPEL : (514) 910-0311 [email protected] / STÉPHANE BOUVIER : (514) 951-5361 [email protected]
Le point de vue aérien des drones a permis de documenter, par des images techniques et de haute précision, plusieurs sections du Fleuve Saint-Laurent des villes participantes. Nos capteurs ont fourni plusieurs types de données afin d’étudier l’érosion des berges.
La Ville de Plessisville a créé et partagé une carte qui indique la géolocalisation et l’état de santé de leurs frênes situés sur les emprises publiques de la ville. L’équipage de drone s’est rendu sur le terrain pour capter les arbres avec des vols successifs de caméra haute définition (RGB) et multispectrale. Les images captées ont ensuite permis de construire des orthophotos des zones survolées.
Ce système d’interprétation permettra éventuellement aux municipalités d’effectuer des suivis de l’état de santé de leurs arbres de rues et de cours sur leur territoire à l’aide de l’intelligence artificielle. En amont de ce système d’interprétation, les données visuelles captées au-dessus des arbres de la municipalité sont utiles pour détecter des indices de l’état de santé des arbres.
Le téléobjectif puissant (zoom) permet l’observation d’oiseaux aquatique à une très grande distance sans les importuner.
L’utilisation d’une caméra d’imagerie thermique performante rend très efficaces l’observation et le décompte des chevreuils. La sensibilité du capteur rend visibles leurs traces dans la neige et permet même de voir si elles sont fraîches. Un téléobjectif puissant (zoom) permet l’observation des animaux à grande distance, sans les perturber. Ces quatre photos ont été prises simultanément par trois capteurs différents lors d’un vol d’observation à une distance de plus de 100 mètres.
Photo d’un nid de balbuzard pêcheur captée lors de l’inspection des branches de la Rivière aux Pins de Boucherville.
Le point de vue du drone permet de constater la présence d’herbacées qui poussent sur le nid et que l’oiseau a utilisé du matériel ressemblant à du géotextile ou de la pellicule de plastique noir utilisée en agriculture pour construire son nid.
L’utilisation d’une caméra à très haute définition permet le décompte et le positionnement des nids à partir d’une orthophoto. Ces images ont été captées à une altitude de 120 mètres (400 pieds) afin de ne pas perturber les goélands sur l’île Hervieux à Lavaltrie.
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